Le secteur viticole français demande un plan d’aide de 500 millions d’euros
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Le mois d’avril fut marqué par :
L’actualité vitivinicole continue d’être marquée en ce mois d’avril 2020 par la pandémie Covid-19. Diverses associations, organisations professionnelles vitivinicoles (Fédérations des coopératives viticoles IT, FR, ESP, CEVI, EFOW) ont demandé durant ce mois d’avril l’aide de l’Union européenne suite au choc que subit le secteur du vin suite à la pandémie Covid-19.
Au niveau européen, la Commission européenne, le 22 avril a adopté un paquet de mesures exceptionnelles notamment pour aider le secteur du vin. Le 30 avril, devant la Comagri, le Commissaire à l’agriculture a reconnu l’insuffisance des mesures proposées face à la crise, sans pour autant en présentant de nouvelles.
Cette même institution annonce des chiffres à la baisse quant à la consommation de vin dans les mois qui viennent.
Enfin, au niveau mondial, selon l’OIV, de faibles volumes sont attendus pour 2020 dans la majorité des pays de l’hémsiphère sud, à l’exception de l’Afrique du Sud et de l’Uruguay, suite aux premières estimations de production.
Ce mois d’avril aura vu plusieurs études, rapports, interviews concernant les nouvelles technologies de sélection variétales être publiés.
Côté américain, l’USDA a sorti un rapport sur la biotechnologie au Royaume-Uni estimant qu’à court terme, il est peu probable que le Royaume-Uni change sa législation, du fait de la proximité avec l’UE.
Par ailleurs, une étude sortie au Pays-Bas affirme que, s’ils sont bien ciblés, les nouvelles technologies génétiques et l’agroécologie peuvent se renforcer mutuellement pour rendre l’agriculture plus durable.
En Norvège, une enquête concernant le rapport qu’entretiennent les Norvégiens avec l’édition génétique montre qu’une majorité des consommateurs sont prêts à utiliser des outils d’édition de gènes dans l’agriculture s’ils apportent des avantages sociaux, économiques et environnementaux.